
05 mai 2016

Difficile, si ce n’est impossible, de retracer l’histoire des lieux, à l’abandon depuis une trentaine d’années.
Plus précisément depuis sa fermeture « en 1986 », « Autrefois, c’était un château, puis une porcherie ».
Elle fait partie des monuments et batiments historiques protégés par leur village.
Histoire : Ancienne ferme (postérieure au cadastre napoléonien) à côté de laquelle les salaisons Géo construisirent en 1935 une porcherie industrielle transformée 1948 en fondoir de corps gras animaux et fabrique de farine de viande.
Sur la façade du bâtiment principal des dizaines de carreaux cassés .
Quant à l’étage supérieur, il n’en reste rien ou presque : seul l’escalier, dont les quelques marches qui subsistent ne mènent nulle part, témoigne de son existence révolue.
L’arrière du bâtiment s’ouvre sur une autre cour.
La façade d’un autre bâtiment, paré d’une immense fresque, attire le regard, même si les bouches d’égout ouvertes et autres trous béants rappellent qu’il vaut mieux regarder où on met les pieds, sous peine de sombrer aux oubliettes…
Le plus étonnant reste la porcherie, sur le côté. Un bâtiment tout en longueur, dans lequel plusieurs allées desservent plus de 200 boxes d’une dizaine de m² chacun. Sur des dizaines de mètres, des rails, sans doute utiliser pour faire circuler les chariots de nourriture, parcourent le bâtiment. Plus de 2 000m² dans lesquels s’ébattaient plusieurs centaines de porcs. Les lieux semblent avoir été vidés et nettoyés après la fermeture de « l’usine à cochons » comme l’appellent les gens du coin.
Sur Internet, l’ambiance particulière suscite de nombreuses interrogations et des légendes émergent, certains assurant même y avoir constaté des événements surnaturels, comme l’apparition aussi soudaine qu’éphémère d’un visage flottant dans l’air, à l’entrée du site.

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